Des idées plein la tête...des envies à m'en malmener...avec ce regard sur ma personne tout s'étiole...aucune distance face à l'écrit...je le vis via chaque lettre...chaque mot...chaque incohérence...je tremble de mon vécu...j'ai peur de la fatalité...je me meurs du bien-être qui ne sera jamais mien...je me nourris de la médiocrité de cette éternelle déchéance qui s'amuse de ce que pourrait être nommée destinée...tout commence puis tout s'arrête...tout commence ou tout s'arrête...l'inverse aussi à cela de sens et d'impact en ce qui me concerne...je me remémore ta critique qui semblait fausse de ce que je pouvais être ou ressentir réellement au final le constat est le même...je suis ce que tu penses que je suis...je serai toujours ce que tu as toujours voulu que je sois...alors là en un frémissement résultant de la fin de cette mélodie de mes sens je me livre comme jamais sans crainte d'être trop dans l'excés de ce que je suis réellement...
Dés les premiéres lueurs (comme dirait l'autre) je me subis de ne pas être lui de ne pas vivre ça de ne pas mourir ou je devrais...dans le repos et le silence de mon désiré succés....je me souviens de mes songes où je me voyais donné en pature de la plus belle façon qui soit je me vois encore vouloir encore et toujours ne plus être de ce rejet symbolique du passé...je me repense m'imagine gisant dans le noir de ma solitude..en poids à mes actes et contradictions...le déclin faisant..j'allume une cigarette..cette même phrase en tête "à l'encre du pire"...on me dira que je ne suis pas aussi doué que je le pense...que je l'ingénuosité supposée de ma personne n'est autre qu'un masque de ma médiocrité...soit...c'est dans le pire que l'homme se révèle à ce qu'il est ou comme il est...nu de ses désirs...nu de ses volontés...loin de l'emprise des choses...à l'empire de la vérité...souffrant de lui comme jamais...en symbiose avec le noir..l'obscure de ce qu'il a peur de donner...à la vie à la mort je serai..
Tu verras..façon l'explication ne se veut pas indispensable..le temps comme il aime à le dire fera usage des choses...amen...
Dés les premiéres lueurs (comme dirait l'autre) je me subis de ne pas être lui de ne pas vivre ça de ne pas mourir ou je devrais...dans le repos et le silence de mon désiré succés....je me souviens de mes songes où je me voyais donné en pature de la plus belle façon qui soit je me vois encore vouloir encore et toujours ne plus être de ce rejet symbolique du passé...je me repense m'imagine gisant dans le noir de ma solitude..en poids à mes actes et contradictions...le déclin faisant..j'allume une cigarette..cette même phrase en tête "à l'encre du pire"...on me dira que je ne suis pas aussi doué que je le pense...que je l'ingénuosité supposée de ma personne n'est autre qu'un masque de ma médiocrité...soit...c'est dans le pire que l'homme se révèle à ce qu'il est ou comme il est...nu de ses désirs...nu de ses volontés...loin de l'emprise des choses...à l'empire de la vérité...souffrant de lui comme jamais...en symbiose avec le noir..l'obscure de ce qu'il a peur de donner...à la vie à la mort je serai..
Tu verras..façon l'explication ne se veut pas indispensable..le temps comme il aime à le dire fera usage des choses...amen...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire