[] Manque de l'autre [ ] manque de soi [ ] Manque des autres

Inexplicable ressenti...doute à l'écriture...une visite déconcertante...songes du doux passé...où...nous étions deux...puis trois...aux quelques émois d'un mal être et d'une vie soumise aux poids de "l'entour"...une absence...une rupture...puis le reste...quelques mois...en logique siècles perdus de partage...je me souviens de ce jour où je n'avais plus en tête...ta voix...ton visage...alors à tort ou à raison...à tort ou à déraison...le constat en quelques images...la vie s'amène et s'emmêle..je ne suis plus...je ne suis pas...je lutte...encore...au loin...à l'horizon du passé pour toi...à jamais oublié...pour moi toujours rêvé...j'ai réalisé en quelques mots mêlés de tremblements...que la perte est de mon "parti" fait...que tu n'as sans doute été que spectateur de cet "étiole"...me demande plein de remords...ce que tu as vu...ressenti...pensé à l'instant où tu t'es dit (si tu as eu le courage, la volonté, le souhait, [la constatation]...de le faire)
...Allume toi pour dire...allume toi pour faire...allumé puis se taire...aimerais dire ou pire vivre ces bribes incomprises....alors pourquoi eux? et moi? et toi? et nous? et vous?
pourquoi ce passage alors que je te regrette? pourquoi cette tendresse alors que je te guète? pourquoi ces mots alors qu'on se perd? ou te veux encore...l'insatisfaction voudra que je devrais cacher ceci...je m'en veux de rompre mes larmes et de me cacher du mal...reviens...songe...et réalise que je suis à prendre...et là tout coule....tout se brise...je suis enfin ce que je devrais être...et dis ce que je dire...ou aurais du...manque de l'autre..manque de moi [?]...je...je...ne saurais que faire pour ...que tu me regardes comme avant...qu'on se parle comme "à l'antan"...te souviens du temps des cerises rouges...où la faim...la détresse...ont en une main...des larmes et des cris ont uni...ce destin perdu...cette douleur de se dire que le silence a eu raison des mots...en logique apparente cela " se va de soi"...il a aussi eu raison de nous...et nous alors?
alors oublions...regards...dits et non dits regardons nous...et vivons ce qui nous reste...s'il en reste encore...on pourrait en dire pendant des heures..mais le "vaut" n'en vaut...point...à jamais...te laisse...sans cesse...ma porte ouverte...

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